« Chérissons les instants, qui se meurent aussitôt
Et qu'on ne reverra plus jamais,
Chérissons les instants qui se meurent aussitôt
Et qu’on ne retrouvera qu’au cimetière des photos »
Ce couplet de la chanson de Gilles Servat « La maison
d’Irlande » m’émeut beaucoup. Ce souvenir évoqué rempli d’amour, de tendresse pour une
maison, un lieu, des images...
Je le vois comme une invitation à savourer ces instants de
bonheur que nous vivons et qui reviendrons par moments à notre esprit comme une douce joie parsemée de mélancolie de ce que nous avons vécu
Nous avons eu le bonheur d’entendre le chanteur poète Gilles Servat non loin de
chez nous lors d’un festival, l’occasion de prendre une photo souvenir que je
partage avec vous
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